Collection Notes & Lectures
en coédition avec la Bibliothèque nationale de France

Oiseaux de l’Himalaya

D’abord jardinier dans les jardins royaux de Windsor, John Gould est ensuite engagé par la Zoological Society of London où il reçoit en 1830 un lot d’oiseaux venus de l’Himalaya. S’entourant pour les textes du zoologue Nicholas Aylward Vigors (1785-1840) et confiant ses croquis à sa jeune épouse Elizabeth, talentueuse aquarelliste et lithographe parfois épaulée par l’illustrateur et poète Edward Lear (1812-1888), il publie à compte d’auteur Une centaine d’oiseaux des montagnes himalayennes. Le succès instantané l’encourage à multiplier les études qui aboutissent aux 5 volumes de Birds of Europe en 1837, année où cet amateur de colibris identifie les « pinsons de Darwin », passereaux rapportés du second voyage de Charles Darwin sur le Beagle.

Carnet de notes & lectures

14,8 x 21 cm (A5)
64 pages

Reliure pique métal
Pages blanches et lignées
Planches illustrées

Coédition Reliefs / Bibliothèque nationale de France

11,90 €

Tour d’horizon du
Mont-Blanc

Le polytechnicien Paul Helbronner préfère de loin les sommets alpins aux aciéries lorraines où il travaille un temps. Alpiniste confirmé — il a escaladé le mont Blanc à 20 ans — et topographe émérite, il accomplit à partir de 1903, quasiment à lui seul, une œuvre titanesque qui s’étalera jusqu’en 1928 : trianguler l’ensemble des Alpes françaises et en établir des cartes enfin précises à grande échelle. Grimpeur inlassable réalisant pas moins de 22 campagnes, il occupe ou vise avec son compas et son théodolite 8 500 points de géodésie à partir de plus de 1 800 stations, sur plus de 18 000 km2, remplit des carnets d’observation, prend plus de 15 000 clichés et en tire d’admirables aquarelles qui ornent deux albums de panoramas accompagnant les 12 volumes de sa Description géométrique détaillée. Membre de l’Académie des sciences où il caricature volontiers ses collègues, il verra la photographie aérienne éclipser ses travaux géodésiques. Mais ni sa passion ni son talent.

Carnet de notes & lectures

14,8 x 21 cm (A5)
64 pages

Reliure pique métal
Pages blanches et lignées
Planches illustrées

Coédition Reliefs / Bibliothèque nationale de France

11,90 €

Voyage au pôle Sud

Ces planches représentant des espèces, dont une bonne part inconnues, jusque-là sont tirées d’un ouvrage en 23 volumes de textes et 6 volumes de planches publiés de 1841 à 1854 au retour de l’expédition que Jules Dumont d’Urville (1790-1842), « inventeur » de la Vénus de Milo et déjà explorateur de l’Océanie, a mené dans les mers australes sur la corvette l’Astrolabe. Avec Charles Hector Jacquinot (1796-1879) qui commandait la Zélée, il a pris pied en janvier 1840 au 67e de latitude sur ce qu’il baptise Terre Adélie, d’après le prénom de sa femme — elle disparaît avec lui et leur fils deux ans plus tard dans la catastrophe ferroviaire de Meudon. Les artistes les plus souvents signataires sont Jacques-Christophe Werner (1798-1856), peintre du Museum d’histoire naturelle, et le mystérieux Henry Borromée (1801-1881) qui a « dirigé » ces illustrations avait illustré les dix volumes de l’expédition autour du monde de la corvette la Bonite en 1836-37.

Carnet de notes & lectures

14,8 x 21 cm (A5)
64 pages

Reliure pique métal
Pages blanches et lignées
Planches illustrées

Coédition Reliefs / Bibliothèque nationale de France

11,90 €

Zoologica Danica

Ces magnifiques planches sont tirées des deux premiers volumes (Mammifères et Poissons) d’un ouvrage qui en comportait huit, publiés à Copenhague à compter de 1878 sur une période de plus de vingt ans. L’initiateur en était Jørgen Christian Schiødte (1815-1884), l’un des plus importants zoologues danois du XIXe siècle, pionnier des études sur les arthropodes et directeur du Naturhistorisk Tidsskrift (Journal d’histoire naturelle), relayé par son ancien élève Hans Jacob Hansen (1855-1936), zoologue et carcinologue (spécialiste des crustacés). Se sont joints à eux pour ces deux premiers opus Peter Tauber (1832-1892), zoologue spécialiste des mammifères et Adolf Severin Jensen (1866-1953), ichtyologiste et malacologue (spécialiste des mollusques). Les uns et les autres se sont appuyés sur de nombreuses expéditions scientifiques, dont la plus célèbre est celle du croiseur Ingolf (1895-1896), financée par la monarchie danoise dont le territoire englobait alors le Groenland, l’Islande et les îles Féroé.

Carnet de notes & lectures

14,8 x 21 cm (A5)
64 pages

Reliure pique métal
Pages blanches et lignées
Planches illustrées

Coédition Reliefs / Bibliothèque nationale de France

11,90 €

Passage du Nord-Ouest

A Voyage of Discovery, Made Under the Orders of the Admiralty, in His Majesty’s Ships Isabella and Alexander, for the Purpose of Exploring Baffin’s Bay, and Inquiring into the Probability of a North-West Passage a été publié en 1819. En 1818, l’Écossais John Ross (1777-1856) a quitté Londres avec deux bateaux renforcés et chargés de vivres (dont 1,5 t de citrons) et de cadeaux pour les « montagnards arctiques » (dont 40 parapluies), à la recherche du passage mythique du Nord-Ouest entre l’Atlantique et le Pacifique. Arrivé dans la baie de Baffin à 74° Nord, il s’engage dans le détroit de Lancaster qui aurait pu lui ouvrir la voie, mais le confondant avec  une baie fermée par des montagnes, mirage qu’il baptise Crocker Mountains, il fait demi-tour contre l’avis de son lieutenant John Parry, qui découvre le passage (le canal de Parry) en 1829. S’il s’avère un échec, ce voyage permet au futur contre-amiral Ross et à ses officiers d’exercer leurs talents picturaux, sous forme d’aquatintes et d’eaux-fortes, dans un journal de bord bourré d’informations de toutes natures qui sert de modèle aux futures expéditions britanniques.

Carnet de notes & lectures

14,8 x 21 cm (A5)
64 pages

Reliure pique métal
Pages blanches et lignées
Planches illustrées

Coédition Reliefs / Bibliothèque nationale de France

11,90 €

Ornements du Japon

Ce carnet thématique de Notes & Lectures présente une sélection de planches entre terre et eau d’Eugène Collinot et d’Adalbert de Beaumont issues de l’Encyclopédie des Arts Décoratifs de l’Orient. Recueils de dessins pour l’Art et l’industrie. Ornements du Japon (1880-1882). Promoteurs de « l’art industriel », ils ont également joué un rôle important pour la diffusion du japonisme en France.

Carnet de notes & lectures

14,8 x 21 cm (A5)
64 pages

Reliure pique métal
Pages blanches et lignées
Planches illustrées

Coédition Reliefs / Bibliothèque nationale de France

11,90 €

Oiseaux d’Europe

Ce carnet présente quelques planches du 4e tome de The Birds of Europe, consacré aux gallinacés et aux échassiers. Son auteur John Gould (1804-1881) était taxidermiste, restaurateur et conservateur à la Zoological Society of London et proche des plus grands naturalistes britanniques. Les lithographies ont été réalisées par sa femme, Elizabeth Coxen Gould (1804-1841) et par Edward Lear (1812-1888), poète, musicien, ornithologue et l’un des meilleurs peintres d’histoire naturelle du XIXe siècle.

Carnet de notes & lectures

14,8 x 21 cm (A5)
64 pages

Reliure pique métal, dos entoilé
Pages blanches et lignées
Planches illustrées

Coédition Reliefs / Bibliothèque nationale de France

11,90 €

Illustrations par des artistes japonais des fables de la Fontaine

Ce carnet présente des illustrations tirées des deux tomes des Fables de Jean de La Fontaine coordonnés par Pierre Barboutau (1862-1916), éditeur, collectionneur et fin connaisseur du Japon. Pour ce faire, il a réuni la fine fleur de l’estampe tokyoïte : Kajita Hanko (1870-1919), Kanō Tomonobu (1843-1912), Okakura Shûsui (1868-1950), Kawanabe Kyôsui (1868-1935), fille du successeur de Hokusai, et Eda Sadahiko. Les fables qu’ils ont eux-mêmes choisies sont adaptées à la réalité locale (paysages, guerriers, marchands, dieux shintô) et réalisées selon la technique de l’ukiyo-e.

Carnet de notes & lectures

14,8 x 21 cm (A5)
64 pages

Reliure pique métal, dos entoilé
Pages blanches et lignées
Planches illustrées

Coédition Reliefs / Bibliothèque nationale de France

11,90 €

Grenouilles, iris et nénuphars

Ce carnet reproduit quelques estampes du peintre et graveur Charles-Louis Houdard (1855-1931), célèbre en son temps pour ses paysages maritimes, fleurs et animaux traités dans le style « japonesque » très en vogue à la fin du XIXe siècle.

Carnet de notes & lectures

14,8 x 21 cm (A5)
64 pages

Reliure pique métal
Pages blanches et lignées
Planches illustrées

Coédition Reliefs / Bibliothèque nationale de France

11,90 €

Plantes potagères

Depuis 1778 et son premier catalogue, la maison Vilmorin-Andrieux a publié d’extraordinaires Albums pour lesquels elle emploie une quinzaine de peintres formés au dessin naturaliste au Jardin des Plantes. Édité entre 1851 et 1861, ce grand in-folio de 28 planches de fleurs rustiques, légumes et plantes fourragères est le fruit du trait fin et précis de l’aquarelliste Élisa-Honorine Champin (1807-1871), secondée par Joséphine Coutance.

Carnet de notes & lectures

14,8 x 21 cm (A5)
64 pages

Reliure pique métal
Pages blanches et lignées
Planches illustrées

Coédition Reliefs / Bibliothèque nationale de France

11,90 €

Dessins de fleurs

Ce recueil de 22 gouaches sur vélin de fleurs est l’œuvre de Madeleine-Françoise Basseporte (1701-1780), peintre attachée au Jardin royal des plantes médicinales sous les règnes de Louis XV et Louis XVI. Amie de Carl von Linné et de Bernard de Jussieu, protégée par la marquise de Pompadour, elle suscita l’admiration de Jean-Jacques Rousseau, pour qui « la nature donnait l’existence aux plantes, mais mademoiselle Basseporte la leur conservait ».

Carnet de notes & lectures

14,8 x 21 cm (A5)
64 pages

Reliure pique métal
Pages blanches et lignées
Planches illustrées

Coédition Reliefs / Bibliothèque nationale de France

11,90 €
Collection Éditions illustrées
en coédition avec la Bibliothèque nationale de France

Mer de glace

« M. Hugo d’Alési a le bon sens de revenir à la nature et de nous la faire aimer en lui faisant chanter, sur le papier, sa propre gloire, sans allégories fadasses, compliquées ou sans piment. »

Journal officiel de l’Exposition de Bordeaux, 1894

Cette image très colorée peinte sous un angle dramatique face à la Mer de Glace, publiée dix ans avant que soit construite la gare d’arrivée du chemin de fer de Montenvers, est l’un des nombreux « tableaux scolaires » d’Hugo d’Alési, spectaculaires vues de villes et de lieux souvent reconnaissables à leur dominante rouge. Le célèbre affichiste avait mis au point une technique unique imitant l’aquarelle et utilisait jusqu’à 20 pierres lithographiques pour exprimer les plus infimes nuances. On le voit au rendu particulièrement réaliste du glacier, avec ses séracs, ses névés et ses stries en chevrons appelées bandes de Forbes. On découvre aussi que le monstre de 7 km de long et 300 m d’épaisseur se déversant sur le versant nord du massif du Mont-Blanc à raison de 100 m par an connaît déjà à cette époque une phase générale de recul : il n’est plus visible en 1900 depuis la vallée de Chamonix. Aujourd’hui, un peu plus d’un siècle plus tard, la mer de Glace a perdu 120 m d’épaisseur dans sa partie terminale. Et le Grand Hôtel du Montenvers, construit en granit en 1880 pour une clientèle de luxe qu’on imagine hors champ, s’appelle désormais Refuge.

Date de publication : 1894

Mer de glace

Tirage sur papier d’art

L’histoire de l’œuvre dans son livret

Format 30 x 40

Coédition Reliefs / Bibliothèque nationale de France

25 €

Panthère des neiges

« Lorsqu’ils chassent, nos prétendus sportsmen n’ont aucun désir d’apprendre quoi que ce soit. Leur seul désir est de tuer. L’homme est l’animal le plus destructeur et le plus carnivore au monde. »

Joseph Wolf

Cette image de 60 cm x 49,5 cm appartient à une imposante « monographie des félidés » faisant suite à de semblables études sur les phasianidés (la famille des faisans) ou les paradisiers et précédant une monographie sur les singes, tous somptueusement édités par le zoologue américain Daniel Giraud Elliot et illustrés par les deux plus grands artistes animaliers de leur temps, le Néerlandais Joseph Smit (1836-1929) et le Britannique Joseph Wolf. Comme dans ses autres productions, ce dernier réussit à donner vie à l’animal peint, et témoigne de sa profonde connaissance et compréhension de celui-ci en réussissant à capturer les détails anatomiques et comportementaux de sa panthère des neiges, dans un mouvement étonnamment juste.

Date de publication : 1878

Panthère des neiges

Tirage sur papier d’art

L’histoire de l’œuvre dans son livret

Format 30 x 40

Coédition Reliefs / Bibliothèque nationale de France

25 €

L’ascension du Mont-Blanc

« M. Baldus [photographe de monuments et de gares] a le secret des grandes perspectives et des lointains horizons. Son objectif embrasse des espaces que l’œil peut à peine mesurer. À M. Bisson, ou plutôt à MM. Bisson frères, appartiennent la délicatesse des lignes, la netteté des contours, la perfection des détails. »

Ernest Lacan, rédacteur en chef de la Lumière

Capturée en 1862 lors de la seconde ascension du mont-Blanc par les Bisson sur le chemin du Grand Plateau, cette célèbre vue de 12 silhouettes chacune une pose différente au bord d’un gouffre cache une petite tromperie dans son titre : comme le montrent les traces de pas dans la neige au-dessus d’eux, les alpinistes font mine de monter alors qu’ils sont sur le chemin de la descente. Le transport et la manipulation des lourds appareils photographiques et de leurs plaques de 40 cm x 30 cm, des fioles de cyanure et de collodion et de la tente opaque où s’effectuent les tirages justifient quelques libertés avec la vraisemblance.

Date de publication : 1863

L’ascension du Mont-Blanc

Tirage sur papier d’art

L’histoire de l’œuvre dans son livret

Format 30 x 40

Coédition Reliefs / Bibliothèque nationale de France

25 €

Renard polaire

« D’après nature ! Combien de fois ces mots ont-ils été prononcés, alors qu’il suffit d’un regard à celui qui a observé les formes parfaites et splendides des oiseaux, des quadrupèdes et d’autres êtres sortis des mains de la Nature, pour s’apercevoir que leur représentation n’est pas celle de la Nature vivante ! »

John James Audubon

Immortalisé par John Woodhouse Audubon, second fils de John James et auteur de la moitié des 150 illustrations de l’ouvrage signé par son père, le renard arctique d’hiver et d’été (volume 3, planche 121) pose sur un fond brossé par son frère aîné Victor, également responsable de la réalisation, de l’impression et de la commercialisation du projet. En 1843, John James Audubon parcourt 2 000 km dans la Prairie américaine pour documenter à ses frais les nombreux mammifères qui la peuplent. Fasciné par les plus gros d’entre eux et sa santé déclinant, il laissera à son retour son cadet dessiner les plus petits. Après cinq ans d’un travail intense et  familial auquel participe l’éminent lithographe John T. Bowen (1801-1856) et que soutiennent 300 souscripteurs, paraissent sur un format « éléphant » (68,5 cm x 55,5 cm) les trois volumes de The Viviparous Quadrupeds of North American, le plus vendu des grands livres illustrés dans les États-Unis du XIXe siècle.

Date de publication : 1845-1846

Renard polaire

Tirage sur papier d’art

L’histoire de l’œuvre dans son livret

Format 30 x 40

Coédition Reliefs / Bibliothèque nationale de France

25 €

Ours polaire

« Un vrai défenseur de la nature sait que le monde ne lui est pas donné par ses parents, mais qu’il l’emprunte à ses enfants. »

John James Audubon

Entre 1846 et 1853, The Viviparous Quadrupeds of North America est publié en 3 volumes de 150 planches de 56 x 71 cm, imprimées et coloriées à la main par J.T. Bowen de Philadelphie, et 3 volumes de textes. Cette planche 91 a été « dessinée d’après nature par J.W. Audubon », le fils qui prend souvent à cette époque le relais de son père dont la santé décline et reproduit son style à s’y méprendre, en particulier dans le traitement pictural des décors naturels. Ursus maritimus y est raconté sur douze pages par son cosignataire John Bachman (1790-1874), pasteur luthérien anti-esclavagiste et naturaliste spécialiste des animaux du sud des États-Unis, dont le Unity of the Human Race, publié en 1850, contribuera au développement de la théorie de l’évolution. 

Date de publication : 1846-1853

Ours polaire

Tirage sur papier d’art

L’histoire de l’œuvre dans son livret

Format 30 x 40

Coédition Reliefs / Bibliothèque nationale de France

25 €

Baleine à bosse

« Ma façon de voir n’ayant pas changé depuis la publication du premier voyage de l’Astrolabe, cette fois, le style que j’emploierai sera encore simple et modeste ; mais aussi clair, aussi précis qu’il me sera possible de le rendre. En effet, il m’a toujours semblé que c’est le seul vraiment approprié à ces sortes de publications ; elles doivent être le récit fidèle et sincère des événements qui ont eu lieu dans le cours du voyage : l’exposé consciencieux des observations et des faits recueillis dans l’intérêt de la science.»

Jules Dumont d’Urville

En dix volumes, plus un atlas, ce « voyage » illustré de 200 planches et de près de 70 cartes documente dans le plus infime détail le périple de quatre années effectué par l’officier de marine Jules Dumont d’Urville (1790-1842). L’« inventeur » de la Vénus de Milo, féru de phrénologie et déjà grand explorateur de l’Océanie, a obéi à l’intérêt passionné de Louis-Philippe et à la lettre de mission détaillée du ministre de la Marine, qui exige « une pointe vers le pôle austral » pour griller la politesse aux Anglais et aux Américains. Il a mené ses deux corvettes jusqu’à plus de 66° de latitude, aux bords d’une terre glacée où il a planté en janvier 1840 le drapeau français et qu’il a baptisée Terre Adélie en l’honneur de sa femme Adèle (deux ans plus tard, ils périront avec leur fils dans la catastrophe ferroviaire de Meudon).

Date de publication : 1798-1856

Baleine à bosse

Tirage sur papier d’art

L’histoire de l’œuvre dans son livret

Format 30 x 40

Coédition Reliefs / Bibliothèque nationale de France

25 €

Paon

Tirée de l’Encyclopédie des Arts Décoratifs de l’Orient. Recueils de dessins pour l’Art et l’industrie. Ornements du Japon (1880-1882), cette planche a été réalisée par Adalbert de La Bonninière de Beaumont (1809-1869), peintre et grand voyageur, et Eugène Collinot (1824-1889). Promoteurs de « l’art industriel », ils ont également joué un rôle important pour la diffusion du japonisme en France. Ensemble, ils dessineront avec le même tact des ornements arabes, persans et turcs.

Paon

Tirage sur papier d’art

L’histoire de l’œuvre dans son livret

Format 30 x 40

Coédition Reliefs / Bibliothèque nationale de France

25 €

La Grenouille et le Rat

Issue de Choix de fables de La Fontaine, illustrées par un groupe des meilleurs artistes de Tokyo, sous la direction de Pierre Barboutau (1894), cette planche qui accompagne la fable « La Grenouille et le Rat » est due à Kanō Tomonobu (1843-1912), descendant de l’école de peinture Kanō, née au XVe siècle. Laissant une large place au blanc du papier, ses coloris délicats invitent à la contemplation du marais plutôt qu’à l’intensité dramatique de la fable.

La Grenouille et le Rat

Tirage sur papier d’art

L’histoire de l’œuvre dans son livret

Format 30 x 40

Coédition Reliefs / Bibliothèque nationale de France

25 €

Flamant rose

Issue du 4e volume de The Birds of Europe (1837), cette planche a été réalisée par Edward Lear (1812-1888). Poète, musicien, ornithologue et peintre d’histoire naturelle, il est connu pour avoir créé une monographie spectaculaire sur les perroquets et un corpus d’autres travaux qui continue de nous informer, de nous ravir et de nous étonner par son remarquable mélange de rigueur scientifique et de finesse artistique.

Flamant rose

Tirage sur papier d’art

L’histoire de l’œuvre dans son livret

Format 30 x 40

Coédition Reliefs / Bibliothèque nationale de France

25 €

Grenouilles, iris et nénuphars

Cette estampe datant de 1898 a été réalisée par le peintre et graveur Charles-Louis Houdard (1855-1931), célèbre en son temps pour ses paysages maritimes, fleurs et animaux traités dans le style « japonesque » très en vogue à la fin du XIXe siècle. Il suit ici à la lettre les règles du kachō-ga, l’art de peindre les animaux, les insectes, les plantes et les fleurs, porté à la perfection par Hokusai (1760-1849) et Hiroshige (1797-1858).

Grenouilles, iris et nénuphars

Tirage sur papier d’art

L’histoire de l’œuvre dans son livret

Format 30 x 40

Coédition Reliefs / Bibliothèque nationale de France

25 €
Collection Géographie nostalgique
en coédition avec la Bibliothèque nationale de France

Le monde en hémisphères

Tirée d’un Royal Illustrated Atlas publié en Écosse, cette représentation essentiellement hydrographique des deux moitiés de la Terre telles qu’elles étaient connues à l’époque fait la part belle aux grands fleuves et à leurs bassins-versants mais n’oublie pas, en frise, de représenter les plus hauts reliefs terrestres que pouvaient connaître et mesurer les scientifiques du temps. Ce qui nous permet de mesurer le chemin des connaissances parcouru en 150 ans.

Le monde en hémisphères

Format plié : 18,3 × 33,2 cm
Format déplié : 53 x 42 cm

Une carte au recto,
son histoire au verso

Bilingue français-anglais

Coédition Reliefs / Bibliothèque nationale de France

18 €

La chaîne du Mont-Blanc

À la demande d’alpinistes suisses qui, comme leurs camarades français, italiens et internationaux, ne disposaient pas d’une carte suffisamment précise du massif du Mont-Blanc et de l’organisation de sa géographie, un ingénieur et un alpiniste helvètes ont allié leurs compétences et leurs talents pour produire à la fin du XIXe siècle cette première représentation topographique mesurée et calculée de bout en bout de main d’homme, en ne reculant devant aucun sommet. Pour l’anecdote, le mont Blanc est ici étalonné à 4 810 m, contre +/- 4 808 m selon les dernières mesures orthométriques par satellite ou par lidar, lesquelles varient selon l’enneigement.

Régions antarctiques

Format plié : 18,3 × 33,2 cm
Format déplié : 102,5 x 55,5 cm

Une carte au recto,
son histoire au verso

Bilingue français-anglais

Coédition Reliefs / Bibliothèque nationale de France

18 €

Carte géologique des Pyrénées

Cette carte, « levée par les Officiers du Corps d’État-major et publiée par le Dépôt de la Guerre » (alors base de données de l’armée), est associée au 25e Bulletin du « Service de la Carte géologique de France et des Topographies souterraines », fondé en 1868 par Napoléon III pour assurer la couverture au 1/80 000° du sol et du sous-sol national. À partir de 1887, les ingénieurs chargés de dresser ces cartes, formés initialement à l’École polytechnique, sont affectés au nouveau Service géographique de l’armée.

Carte géologique des Pyrénées

Format plié : 18,3 × 33,2 cm
Format déplié : 82 x 52 cm

Une carte au recto,
son histoire au verso

Bilingue français-anglais

Coédition Reliefs / Bibliothèque nationale de France

18 €

Carte géologique de la Savoie

Cette carte balafrée en diagonale par le rouge des massifs hercyniens, des schistes cristallins et autres granites est due à l’un des meilleurs géologues (également paléontologue) des Alpes, Léon Moret, qui ajoute à l’extrême précision de ses tracés géologiques les plans détaillés des principales villes de Savoie et de Haute-Savoie, départements créés en 1860. Remarquable par sa précision, cette carte, qui couvre une superficie d’environ 12 000 km², permet de visualiser les différentes couches géologiques qui constituent la région, notamment les roches sédimentaires, volcaniques et métamorphiques ainsi que les structures géologiques comme les failles et les plis.

Carte géologique de la Savoie

Format plié : 18,3 × 33,2 cm
Format déplié : 100 x 70 cm

Une carte au recto,
son histoire au verso

Bilingue français-anglais

Coédition Reliefs / Bibliothèque nationale de France

18 €

Régions antarctiques

Cette carte des « régions antarctiques » de 1921 pourrait aussi bien s’intituler « l’Antarctique est à nous », signé l’Empire britannique. Elle prend en compte les principales explorations menées depuis le début du XXe siècle par les grandes puissances au nom de la « course au Sud », qui s’est conclue en 1911 par la victoire inattendue et mortifiante (pour Londres) du Norvégien Roald Amundsen au pôle Sud. Mais conformément aux revendications du temps, elle agrandit considérablement les étroits territoires continentaux alors véritablement reconnus, déjà baptisés par les explorateurs du Commonwealth (créé 5 ans plus tard) des noms de leurs « gracieux souverains ».

Régions antarctiques

Format plié : 18,3 × 33,2 cm
Format déplié : 68 x 85 cm

Une carte au recto,
son histoire au verso

Bilingue français-anglais

Coédition Reliefs / Bibliothèque nationale de France

18 €

Lignes isothermes

Cette étonnante carte des lignes isothermes (de température constante) de l’hémisphère nord, publiée en 1837 à Gotha en Thuringe, est le produit des explorations, des recherches et des données des savants d’Europe du Nord les plus brillants de leur temps. Figurant parmi les 75 cartes d’un « Atlas physique » complément du magistral Kosmos, d’Alexander von Humboldt (par ailleurs inventeur des isothermes), elle montre aussi la persistence d’un mythe ancien, soutenu alors par la science comme par la littérature, et qui ne se dissoudra vraiment qu’à la fin du XIXe siècle : l’existence d’une mer libre au pôle Nord.

Lignes isothermes

Format plié : 18,3 × 33,2 cm
Format déplié : 68 x 85 cm

Une carte au recto,
son histoire au verso

Bilingue français-anglais

Coédition Reliefs / Bibliothèque nationale de France

18 €

Pôle arctique

Cette carte hollandaise du pôle Nord et de ses alentours doit beaucoup à deux grands explorateurs du tournant du XVIIe siècle : à l’est, le Hollandais Willem Barentsz (1550-1597), qui a cherché en vain le passage du Nord-Est ; à l’ouest, l’Anglais William Baffin (1584-1622), qui a cherché en vain le passage du Nord-Ouest . La cartographie de ce temps, particulièrement à ces latitudes, n’en reste pas moins approximative et pleine de zones doublement blanches. L’auteur, cartographe du « siècle d’or » à La Haye, les entoure de belles images évocatives mais ne cherche pas à les dissimuler.

Pôle arctique

Format plié : 18,3 × 33,2 cm
Format déplié : 85 x 68 cm

Une carte au recto,
son histoire au verso

Bilingue français-anglais

Coédition Reliefs / Bibliothèque nationale de France

18 €

Antarctique

Considérée, à la veille de la Seconde Guerre mondiale, comme le relevé le plus précis de l’Antarctique jamais réalisé, cette carte commanditée par le gouvernement australien détaille les reliefs et les zones du continent polaire que les nombreuses explorations navales, terrestres et aériennes ont permis de toujours mieux définir. Elle met surtout en avant les immenses portions territoriales que revendiquent alors la Grande-Bretagne (Falkland islands Dependency) et ses alliés du Commonwealth, l’Australie (Australian Antarctic Territory) et la Nouvelle-Zélande (Ross Dependency). Le traité de l’Antarctique de 1959 en décidera autrement et ces revendications restent aujourd’hui encore « ajournées ».

Antarctique

Format plié : 18,3 × 33,2 cm
Format déplié : 85 x 68 cm

Une carte au recto,
son histoire au verso

Bilingue français-anglais

Coédition Reliefs / Bibliothèque nationale de France

18 €

La Suisse à vol d’oiseau

Cette lithographie de 1915 figure la Suisse vue depuis les rives allemandes du lac de Constance, selon un axe médian Constance-Saint-Moritz traversant monts et prairies jusqu’au lac d’Iseo en Italie. La Confédération helvétique, alors cernée par les belligérants de la Première Guerre mondiale, commence à se penser comme une « île » qu’il faut préserver d’une « inondation » étrangère. La photo aérienne, développée par toutes les puissances militaires depuis le début du XXe  siècle, n’a pas été utilisée pour la réalisation de cette « vue d’oiseau », due à la seule imagination de graphistes-géographes.

La Suisse à vol d’oiseau

Format plié : 19,6 × 33,8 cm
Format déplié : 98 × 67,6 cm

Une carte au recto,
son histoire au verso

Bilingue français-anglais

Coédition Reliefs / Bibliothèque nationale de France

18 €

Carte agricole et climatologique de la France

Cette « Carte agricole et climatologique » extraordinairement détaillée de 1853 est l’œuvre d’un ingénieur civil issu de l’École centrale et appartenant sans doute à la Société des ingénieurs civils de France, qui compte un peu moins de 3 000 membres. Celui-ci manifeste une compétence remarquable dans les domaines agricoles (les prairies apparaissent en vert clair, les forêts en vert sombre, les vignobles en rouge et les « terres infertiles » en jaune) et des idées bien arrêtées : les températures moyennes qu’il relève concernent uniquement les saisons culturales d’avril à octobre, classées par latitude.

Carte agricole et climatologique de la France

Format plié : 19,75 × 33,8 cm
Format déplié : 67,6 × 79 cm

Une carte au recto,
son histoire au verso

Bilingue français-anglais

Coédition Reliefs / Bibliothèque nationale de France

18 €

Carte de la Lune

La Carte générale de la Lune a été réalisée en 1887 sous l’égide de Camille Flammarion et représente en son centre la Lune et sa topographie. Montagnes, cirques et rainures y sont classés par zone géographique. L’astre lunaire est représenté nord vers le bas, ainsi qu’il apparaît dans les lunettes astronomiques.

Carte de la Lune

Format plié : 19,6 × 33,8 cm
Format déplié : 67,6 × 98 cm

Une carte au recto,
son histoire au verso.

Coédition Reliefs / Bibliothèque nationale de France

18 €

Kyoto

Cette gravure sur bois anonyme, datée de 1863, représente la capitale Kyoto et ses environs immédiats dans le style classique de la période Edo. La carte nous offre un aperçu fidèle de la « ville capitale », de sa disposition orthogonale et de son bâti, fait de machi, blocs d’habitation de 120 m de côté. Orientée nord-sud en raison de la situation du Palais impérial au nord de la ville, cette carte est l’un des premiers exemples de l’âge d’or de la cartographie japonaise.

Kyoto

Format plié : 19,6 × 33,8 cm
Format déplié : 98 × 67,6 cm

Une carte au recto,
son histoire au verso.

Coédition Reliefs / Bibliothèque nationale de France

18 €

Paris à vol d’oiseau

Réalisée par Émile Bourdelin, dessinateur industriel et ingénieur, la carte Paris à vol d’oiseau offre une vision de la capitale au moment même où elle est réorganisée, le 16 juin 1859, passant de douze à vingt arrondissements par l’absorption de onze communes limitrophes, de Belleville à Vaugirard, d’Auteuil à Montmartre.

Paris à vol d’oiseau

Format plié : 19,6 × 33,8 cm
Format déplié : 98 × 67,6 cm

Une carte au recto,
son histoire au verso.

Coédition Reliefs / Bibliothèque nationale de France

18 €

Montagnes, fleuves et cascades

Cette carte incroyablement riche d’informations a été dessinée et mise en couleurs par les graveurs français Lallemand et Roemhild en 1826. Elle répertorie les plus hautes montagnes, les plus longs fleuves et les cascades les plus élevées découvertes par l’Homme à cette époque, et témoigne de l’état des connaissances géographiques au début du XIXe siècle.

Montagnes, fleuves et cascades

Format plié : 19,6 × 33,8 cm
Format déplié : 98 × 67,6 cm

Une carte au recto,
son histoire au verso.

Coédition Reliefs / Bibliothèque nationale de France

18 €
Manifestes du Muséum
en coédition avec le Muséum national d’histoire naturelle

Justice environnementale

Le Muséum national d’histoire naturelle et les éditions Reliefs publient le Manifeste du Muséum : Justice environnementale, un ouvrage bilingue engagé qui aborde le thème de la justice environnementale et les opportunités de sa mise en œuvre.

Les changements environnementaux auxquels les êtres humains font face sont devenus plus rapides et brutaux. Qu’il s’agisse du déclin de la biodiversité, des dommages liés à l’activité humaine (pollutions, bruit, etc.) ou de l’accès à un cadre de vie désirable, tous les individus n’ont ni la même exposition aux nuisances et aux risques, ni la même vulnérabilité, ni les mêmes possibilités d’être écoutés. Crise environnementale et inégalités sociales se renforcent mutuellement. D’une part, la crise environnementale accentue les inégalités sociales, et, d’autre part, les inégalités sociales sont un obstacle à une transition écologique réussie. Il s’agit donc d’inscrire cet impensé politique et scientifique que sont les inégalités socio-environnementales dans les réflexions et prises de décisions.

Le manifeste évoque des pistes de solutions : une redistribution équitable des bénéfices directs et indirects tirés des ressources naturelles, la participation de tous les acteurs et populations aux processus décisionnels locaux et internationaux, la reconnaissance des savoirs autochtones et locaux en matière de gestion de l’environnement… Des changements ambitieux auxquels le Muséum contribue déjà grâce à son expertise scientifique.

104 pages

Bilingue français-anglais
ISBN : 978-2-38036-142-1

Coédition Reliefs / Muséum national d’histoire naturelle

8,50 €

Aux origines du genre

La question du genre porte sur des enjeux d’identité personnelle (« Qui suis-je ? »). On se demande si les termes « femme » et « homme » ne sont, pour notre espèce, que la traduction du sexe des individus, « femelle » et « mâle ». Pourquoi, dans ce cas, Simone de Beauvoir aurait-elle prononcé la phrase célèbre : « On ne naît pas femme, on le devient » ? La question s’est posée de savoir si les catégories « femme » et « homme » suffisaient à décrire l’ensemble de la diversité sexuelle humaine.

Le Muséum interroge les limites des catégories « femme » et « homme », à une époque où s’expriment des sensibilités variées qui bousculent le cadre des « identités » bien établies et l’idée même d’une « orientation sexuelle » définie. Quel regard posent les sciences sur ces notions de sexe et de genre ?

Bruno David est président du Muséum d’histoire naturelle. Paléontologue et directeur de recherche au CNRS, il collabore également avec des organismes internationaux, est invité à de nombreux colloques scientifiques et est très impliqué dans la diffusion en direction du grand public. Les auteurs du Manifeste sont Raphaëlle Chaix (anthropologue généticienne), Thierry Hoquet (professeur de philosophie), Claudine Karlin (ethnologue préhistorienne), Guillaume Lecointre (zoologiste et systématicien), Roland Pfefferkorn (professeur de sociologie), Priscille Touraille (anthropologue et ethnologue) et Clémentine Vignal (professeure d’éthologie et d’écologie).

96 pages

Bilingue français-anglais
ISBN : 978-2-38036-096-7

Aux origines du genre a été réimprimé dans une nouvelle gamme de papier.

Coédition Reliefs / Muséum national d’histoire naturelle

8,50 €

Histoire naturelle de la violence

Le Muséum national d’histoire naturelle et Reliefs Éditions publient le Manifeste du Muséum. Histoire naturelle de la violence, un ouvrage bilingue signé par un collectif d’auteurs qui convoque différentes disciplines scientifiques afin de disposer d’une grille d’analyse scientifique fondée et d’interroger l’essence même de la violence.

Paradoxalement, malgré un ressenti généralisé de vivre dans un monde violent, le niveau de violence civile en Europe de l’Ouest n’a jamais été aussi bas depuis bien des siècles. Toutes les violences sont-elles comparables ? Qu’est-ce que la violence ? Quelles sont ses origines naturelles ?

Ce document est établi par un comité constitué en 2021 à l’initiative de Bruno David, président du Muséum d’histoire naturelle (MNHN), paléontologue et biologiste. Il collabore avec des organismes internationaux, est invité à de nombreux colloques scientifiques et est très impliqué dans la diffusion en direction du grand public.

Les auteurs de ce Manifeste sont :  Laurent Begue-Shankland (professeur de psychologie sociale), Caroline Gilbert (éthologue), Caroline Guibet-Lafaye (sociologue), Guillaume Lecointre (zoologiste et systématicien), Shelly Masi (éco-anthropologue), Robert Muchembled (historien), Marylène Patou-Mathis (préhistorienne), Charles-Edouard de Suremain (ethnologue).

96 pages

Bilingue français-anglais
ISBN : 978-2-38036-064-6

Coédition Reliefs / Muséum national d’histoire naturelle

8,50 €

Face aux limites

Le Muséum national d’histoire naturelle et Reliefs Éditions publient le Manifeste du Muséum. Face aux limites, un ouvrage bilingue engagé, signé par des scientifiques, philosophes et sociologues reconnus, qui adresse un signal fort à nos sociétés contemporaines.

Ce manifeste propose une réflexion sur l’avenir de notre planète. À l’heure où la « collapsologie » tente de s’inviter dans le monde universitaire, d’autres modes de pensée perpétuent l’absence de prise en compte des limites : limites physiques et historiques du corps humain, limites des ressources de la planète.

Ni promotrice du transhumanisme, ni annonciatrice d’une apocalypse écologique, l’histoire naturelle nous invite à nous éloigner d’un extrême optimisme autant que d’un extrême pessimisme. Au premier, elle rappelle l’historicité des êtres vivants et les limites qu’elle impose ; aux seconds elle invite à se pencher sur les échelles de temps et d’espace par lesquels elle comprend le vivant.

Crises et effondrement pour qui ou pour quoi ? À quelle échéance ? Corps augmenté, pour qui ? Limites, échelles de temps et d’espace, telles sont les notions permettant à l’histoire naturelle d’envisager notre avenir.

Les auteurs de ce Manifeste sont :  Jean-Michel Besnier, Frédérique Chlous, Philippe Cury, Bruno David, Jean-Baptiste Fressoz, Carine Giovannangeli, Guillaume Lecointre, Cécile Lestienne, Harold Levrel, Samuel Pavard, Marie Ségur, Luc Semal, Jean-François Toussaint, Danièle Tritsch, Claire Tutenuit.

84 pages

Bilingue français-anglais
ISBN : 978-2-38036-023-3

Face aux limites a été réimprimé dans une nouvelle gamme de papier.

Coédition Reliefs / Muséum national d’histoire naturelle

8,50 €

Humains et autres animaux

Le Muséum national d’histoire naturelle et les éditions Reliefs publient le Manifeste du Muséum : Humains et autres animaux, un ouvrage bilingue engagé, signé par des scientifiques, philosophes et sociologues reconnus, qui adresse un signal fort à nos sociétés contemporaines et s’intéresse à la diversité des enjeux scientifiques et sociaux de notre rapport à l’animal.

Le Muséum ambitionne de faire entendre l’histoire naturelle au sujet de notre rapport à l’animal, à une époque où s’expriment des sensibilités variées, qui vont d’une attente éthique, des débats académiques sur le droit animal jusqu’aux exactions commises à l’encontre des boucheries, en passant par l’engouement d’une partie de nos jeunes concitoyens pour l’alimentation vegan, le militantisme anti-zoo ou anti-élevage. L’objectif est de convoquer les différentes disciplines scientifiques en lien avec ce sujet afin de disposer d’une analyse scientifiquement fondée de notre rapport à l’animal et du changement de sensibilité actuel dont ce rapport est l’objet, d’interroger diverses échelles de temps et d’espace, comme l’histoire naturelle nous y incite.

Bruno David est directeur du Muséum d’histoire naturelle. Il collabore avec des organismes internationaux, est invité à de nombreux colloques scientifiques et est très impliqué dans la diffusion en direction du grand public

Les auteurs de ce Manifeste sont Hélène Artaud, Alain Boissy, Didier Bonnet, Georges Chapouthier, Sabrina Krief, Guillaume Lecointre, Jean-Pierre Marguénaud, François Moutou, Michel Raymond, Michel Saint Jalme, Véronique Servais, Bernard Vallat, Jean-Denis Vigne.

84 pages

Bilingue français-anglais
ISBN : 979-10-96554-89-8

Humains et autres animaux a été réimprimé dans une nouvelle gamme de papier.

Coédition Reliefs / Muséum national d’histoire naturelle

8,50 €

Coffret – Manifestes du Muséum

En tant qu’institution créatrice de savoirs et d’expertise, le Muséum souhaite s’impliquer dans les controverses qui traversent la société afin d’y apporter l’éclairage de l’histoire naturelle. C’est dans cette perspective que, chaque année depuis 2017, Bruno David, président du Muséum, a initié la constitution de comités d’auteurs autour d’un sujet lié aux débats d’actualité, réunissant pour moitié des spécialistes de l’établissement – paléontologues, éthologues, généticiens, ethnologues, anthropologues, etc. – et pour autre moitié des experts extérieurs – philosophes, historiens, économistes, juristes, etc.

C’est à l’issue de leur travail collectif et à l’appui de faits scientifiquement fondés et sous la coordination rédactionnelle de Guillaume Lecointre qu’ont vu le jour les manifestes Quel futur sans nature ? (2017), Migrations (2018), Humains et autres animaux (2019), Face aux limites (2020), et Histoire naturelle de la violence (2021).

Le premier volume offre une vision intégrale du travail collectif mené depuis 2017 et l’éclairage de l’histoire naturelle sur des questions de société en rassemblant les cinq textes des manifestes. Ceux-ci sont proposés en français et en anglais et sont introduits par un avant-propos de Bruno David.

Le second volume se présente sous la forme d’un album iconographique. Il accompagne le volume de textes et permet de découvrir des trésors du fonds de photographies scientifiques de la Bibliothèque centrale du Muséum. Des cyanotypes d’Anna Atkins remontant aux années 1840, jusqu’aux photographies des expéditions dans le désert de Théodore Monod ou dans l’antarctique de Jean-Baptiste Charcot dans les années 1960, en passant par les expérimentations microphotographiques d’Auguste Bertsch au milieu du XIXe siècle, cette sélection d’une quarantaine d’images montre la diversité des domaines couverts par le Muséum autant que la beauté d’une imagerie au service de la science.

Édition limitée

Coffret en deux volumes
384 pages et 64 pages

Bilingue français-anglais
ISBN : 978-2-38036-071-4

Coédition Reliefs / Muséum national d’histoire naturelle

35 €

Migrations

Le Manifeste Migrations été rédigé par un comité constitué en 2018 à l’initiative de Bruno David, président du Muséum national d’histoire naturelle.

Le comité était présidé par Frédérique Chlous, ethnologue, professeure et directrice du département Homme et Environnement du Muséum, et le secrétariat de rédaction a été assuré par Guillaume Lecointre, zoologiste, systématicien, professeur et conseiller scientifique du président du Muséum. Le comité était composé de treize chercheurs dans des domaines variés : archéologie, génétique, écologie, géographie, sociologie, philosophie et anthropologie.

94 pages

Bilingue français-anglais
ISBN : 979-10-96554-73-7

Migrations a été réimprimé dans une nouvelle gamme de papier.

Coédition Reliefs / Muséum national d’histoire naturelle

8,50 €

Quel futur sans nature ?

Le Muséum national d’histoire naturelle et les éditions Reliefs publient le Manifeste du Muséum : Quel futur sans nature ?, un ouvrage bilingue engagé qui souhaite éveiller les consciences « au rôle et à la nécessité de l’histoire naturelle dans les sociétés contemporaines ».

Dès sa nomination à la présidence du Muséum en 2015, Bruno David a ouvert une réflexion sur ces questions avec la mise en place d’un Comité d’histoire naturelle réunissant des sociologues, philosophes, naturalistes et historiens pour réfléchir à la place de l’histoire naturelle dans les débats qui agitent notre société. Présidé par Philippe Taquet, le Comité se mobilise à travers cet essai pour faire face à la montée des obscurantismes et à l’affaiblissement du discours scientifique.

Mais c’est avant tout un appel lancé aux élus et dirigeants afin de « tenir compte de l’histoire naturelle et de tous les enjeux intellectuels, sociaux, culturels, économiques, éthiques et vitaux qu’elle englobe ».

94 pages

Bilingue français-anglais
ISBN : 979-10-96554-26-3

Quel futur sans nature ? a été réimprimé dans une nouvelle gamme de papier.

Coédition Reliefs / Muséum national d’histoire naturelle

8,50 €
Monographies du Prix Carmignac du photojournalisme
en coédition avec la Fondation Carmignac

Arctique : Nouvelle frontière

Présidé par le climatologue Jean Jouzel, Prix Vetlesen 2012 et co-lauréat du Prix Nobel de la Paix en 2007 en tant que directeur du GIEC, et sous le haut-patronage de la Ministre Ségolène Royal, ambassadrice pour les Pôles, le 9e prix Carmignac du Photojournalisme, consacré à l’Arctique, a été décerné à Yuri Kozyrev et Kadir Van Lohuizen.

Leur double expédition polaire « Arctique : Nouvelle frontière »  porte sur les effets du réchauffement climatique et les conséquences de la fonte de la banquise sur les hommes et l’environnement.

Reliefs a collaboré avec la Fondation Carmignac en publiant la monographie du 9e prix Carmignac du photojournalisme, Arctique : Nouvelle frontière et en accompagnant l’exposition à la Cité des sciences et de l’industrie.

160 pages
Format : 28 x 24

Bilingue français-anglais
ISBN : 979-10-96554-85-0

Coédition Reliefs / Fondation Carmignac

35 €

Amazônia

Présidé par Yolanda Kababadse, ministre de l’environnement en Équateur entre 1998 et 2000, puis présidente du WWF entre 2010 et 2017, le 10e édition du Prix Carmignac du photojournalisme est dédiée à l’Amazonie et traite des enjeux liés à sa déforestation. Cette édition du prix soutient le projet de Tommaso Protti, qui rend visibles les bouleversements qui touchent l’Amazonie, pour alimenter la réflexion sur les conséquences de la déforestation massive.

Entre janvier et juillet 2019, le photojournaliste italien, accompagné du journaliste britannique Sam Cowie, a parcouru des milliers de kilomètres à travers l’Amazonie brésilienne pour réaliser ce reportage. Depuis la région de Maranhão à l’est, à celle de Rondônia à l’ouest, en passant par les États du Pará et de l’Amazonas, ils dressent le portrait de l’Amazonie brésilienne contemporaine, où les crises sociales et humanitaires se superposent à la destruction inexorable de la forêt vierge.

Reliefs a collaboré avec la Fondation Carmignac en publiant la monographie du 10e prix Carmignac du photojournalisme, Amazônia et en accompagnant l’exposition à la Maison européenne de la photographie.

154 pages
Format : 28 x 24 cm

Bilingue français-anglais
ISBN : 979-10-96554-90-4

Coédition Reliefs / Fondation Carmignac

35 €

Congo in Conversation

Congo in Conversation est un projet collaboratif réalisé avec des journalistes et photographes congolais, en collaboration avec Finbarr O’Reilly, 11lauréat du Prix Carmignac du Photojournalisme. Pendant six mois, ces derniers ont documenté les défis humains, sociaux et écologiques affrontés par le Congo au temps de la Covid-19.

Congo in Conversation est publié dans une monographie bilingue français-anglais, co-éditée par Reliefs Éditions et la Fondation Carmignac, avec deux couvertures qui illustrent des aspects différents de ce reportage collaboratif.

Les photographes

Arlette Bashizi, Dieudonné Dirole, Justin Makangara, Al-Hadji Kudra Maliro, Danny Matsongani, Guerchom Ndebo, Finbarr O’Reilly, Raissa Karama Rwizibuka, Moses Sawasawa, Pamela Tulizo, Bernadette Vivuya

Préface de Finbarr O’Reilly

Finbarr O’Reilly, photographe indépendant et journaliste multimédia, est l’auteur d’un récit de souvenirs paru chez Penguin Random House en 2017, Shooting Ghosts, A.U.S. Marine, a Combat Photographer, and Their Journey Back from War (La chasse aux fantômes, retour du front d’un Marine et d’un photographe de guerre). Finbarr O’Reilly a vécu 12 ans en Afrique occidentale et centrale et couvert vingt ans de conflits au Congo, au Tchad, au Soudan, en Afghanistan, en Libye et à Gaza. Choisi pour réaliser les images de l’exposition « Crossroads Ethiopia » autour du prix Nobel de la paix 2019 Abiy Ahmed Ali, il est fréquemment publié dans le New York Times et son travail lui a valu de nombreuses récompenses professionnelles, dont le premier prix dans la catégorie Portraits au World Press Photo Awards en 2019. Il a également été lauréat du World Press Photo of the Year en 2006.

Conversation avec Mark Sealy

Mark Sealy s’intéresse aux relations entre la photographie et les changements sociaux, les politiques identitaires, les questions raciales et les droits humains. Directeur depuis 1991 d’Autograph ABP, agence d’arts photographiques basée à Londres, il a produit de nombreux livres d’art, organisé des expositions, missionné des photographes et des cinéastes dans le monde entier et orchestré l’exposition à succès « Human Rights Human Wrongs » (Droits humains, Torts humains) présentée au Ryerson Image Center à Toronto en 2013 et à The Photographers’ Gallery à Londres en 2015. Parmi ses autres réalisations notables, citons les expositions des travaux de James Van Der Zee, Gordon Parks, Carrie Mae Weems, Rotimi Fani-Kayode, Mahtab Hussain and Maud Sulter. En 2020, Mark Sealy a dirigé l’exposition « African Cosmologies: Photography, Time, and the Other » à la Fotofest Biennial de Houston.

124 pages
Format : 21 × 28 cm

Bilingue français-anglais
ISBN : 978-2-38036-024-0

Coédition Reliefs / Fondation Carmignac

35 €

Congo, une lutte sublime

En 2020, le 11e Prix a été remis au photojournaliste canadien Finbarr O’Reilly pour son projet de reportage en République démocratique du Congo (RDC). Entamé en 2020 mais vite interrompu par l’irruption de la pandémie du coronavirus, le reportage a repris au premier semestre 2021.

Le projet soutenu se propose d’explorer les défis humains, sociaux et écologiques que le Congo affronte aujourd’hui, en documentant les dures réalités et les immenses défis qui freinent l’essor d’un pays exploité depuis des générations.

Grand comme quatre fois la France, la RDC est un pays-continent irrigué par le fleuve Congo. Il concentre d’immenses richesses naturelles et minérales : plus grande forêt pluviale après l’Amazonie, premier producteur de cobalt et de coltan (métaux stratégiques de nos équipements électroniques), deuxième producteur de diamants… Mais le pays, déchiré par des conflits intercommunautaires et politiques récurrents, accumule misères, épidémies et affrontements sanglants.

La République démocratique du Congo présente l’un des indices de développement humain les plus faibles au monde. Son alphabétisation est en hausse mais sa santé publique à l’abandon, et les violences faites aux femmes et aux enfants y sont endémiques. Le pays possède les plus grandes ressources en eau douce d’Afrique mais a le plus faible taux d’accès à l’eau potable. C’est aussi le moins bien loti en matière d’infrastructures de transport de la planète et un des tristes champions de la déforestation et de l’accaparement des terres et des matières premières.

Ce projet fait également entrevoir des raisons d’espérer pour les 90 millions d’habitants de la République démocratique du Congo, dont 60 % ont moins de 20 ans : initiatives dans l’éducation et la santé, actions de préservation de la faune, et luttes contre les trafics, la corruption et la mainmise de quelques individus et des multinationales sur les exploitations minières.

154 pages
Format : 28 x 24 cm

Bilingue français-anglais
ISBN : 978-2-38036-065-3

Coédition Reliefs / Fondation Carmignac

35 €

Venezuela

La 12e édition du Prix Carmignac du photojournalisme est dédiée au Venezuela et explore les traces de la prospérité du pays dans les années 60/70, avant les crises économique et politique que traverse le Venezuela depuis quelques années.

Fabiola Ferrero, lauréate du 12e Prix Carmignac du photojournalisme, est journaliste et photographe. Son travail est le résultat du contraste entre ses souvenirs d’enfance et le Venezuela, son pays d’origine. Utilisant sa formation en écriture et en journalisme d’investigation, elle développe des projets visuels et des enquêtes indépendantes en Amérique du Sud, sur la crise du Venezuela notamment.

« Plus de 5 millions de Vénézuéliens ont quitté le pays. Mes parents, mes frères et tous mes amis les plus proches en font partie. J’ai vu ma maison se vider et mes souvenirs devenir flous, comme si je regardais mon enfance à travers une fenêtre embuée. Alors que le silence semblait prendre tous les espaces autour de moi, j’ai cherché un abri en dehors de Caracas où je pourrais me reconnecter avec le passé. Là-bas, dans la campagne vénézuélienne, on peut encore trouver des aperçus de ce pays perdu… des traces d’un temps meilleur. Je l’ai vu, au milieu de la solitude, luttant pour survivre à la déchéance générale. The Wells Run Dry est l’histoire de la classe moyenne vénézuélienne en voie de disparition, souvent oubliée pour prêter attention à des questions plus urgentes dans notre crise profondément complexe. Sept années consécutives d’effondrement économique et de crise politique ont laissé une dévastation uniquement comparable aux pays qui ont traversé un conflit armé : 94 % de la population vénézuélienne vit sous le seuil de pauvreté, détruisant la classe moyenne et augmentant le fossé des inégalités. Ces années de richesse n’existent que dans nos mémoires. Avec cette idée en tête, je visiterai des lieux qui étaient autrefois des symboles de notre prospérité, pour rechercher les vestiges des décennies pétrolières prospères et de la réussite économique que nous avons connues. Ce projet vise à laisser une trace historique d’une époque qui existait avant l’effondrement, et à la contraster avec le Venezuela d’aujourd’hui. Bien qu’il s’agisse d’une application individuelle, c’est un effort collectif réalisé avec des femmes journalistes locales dans tout le pays. L’importance de ce projet réside dans le fait que ces industries sont sur le point de disparaître, et que les communautés qui en dépendent sont transformées de manière drastique : c’est comme essayer de photographier un lac avant qu’il ne devienne un désert. S’il y a un moment pour documenter et laisser une trace de la mémoire de ce que nous étions, c’est maintenant. Cette enquête visuelle mêlera des images de structures industrielles, des portraits de personnes affectées, des images de leur vie quotidienne d’aujourd’hui, et des souvenirs issus de leurs archives personnelles. » — Fabiola Ferrero.

160 pages
Format : 21 x 28 cm

Bilingue français-anglais
ISBN : 978-2-38036-097-4

Coédition Reliefs / Fondation Carmignac

35 €
Carnets Notes et Plâtre
en coédition avec Lafayette Anticipations

Ancien entrepôt réhabilité par l’agence de Rem Koolhaas, Lafayette Anticipations a pour vocation de devenir un lieu de création, de production et d’exposition des formes d’expression les plus actuelles. Reliefs Éditions a réalisé pour cette fondation une collection de papeterie sur mesure.

Notes

16 x 23 cm
72 pages vierges, lignées ou quadrillées
Reliure couture Singer

Coédition Reliefs / Lafayette Anticipations

9,50 €

Plâtre

16 x 23 cm
72 pages vierges, lignées ou quadrillées
Reliure couture Singer

Coédition Reliefs / Lafayette Anticipations

9,50 €
Carnet Notes & Lectures
en coédition avec le château de Versailles

Le jardin du parfumeur

Dans la lignée de la revue Reliefs et de ses collections dédiées à la nature et à l’environnement, Reliefs Éditions publie en coédition avec le château de Versailles un carnet à la fabrication soignée présentant les plantes du Jardin du Parfumeur.

Au coeur du Domaine de Trianon, le Jardin du Parfumeur est un lieu insolite qui rassemble des centaines de plantes. Cultivé dans l’esprit des jardins de Trianon du XVIIe siècle, ces plantes permettent de mieux faire connaître l’histoire du parfum à la cour de Versailles. Ce jardin extraordinaire s’affirme comme une délicieuse leçon de choses à l’ancienne où mille fleurs nous enseignent les odeurs des plus suaves aux plus nauséabondes, qui dans une alchimie si mystérieuse font naître une variété infinie de parfums.

Le jardin du parfumeur

14,8 × 21 cm

96 pages dont 32 illustrées avec légendes détaillées

Coédition Reliefs / Château de Versailles

14 €

Les arbres admirables du domaine de Versailles

Dans la lignée de la revue Reliefs et de ses collections dédiées à la nature et à l’environnement, Reliefs Éditions publie en coédition avec le château de Versailles un carnet à la fabrication soignée présentant les arbres admirables de ses jardins.

L’année 2019 au château de Versailles est l’occasion de revenir sur les actions menées dans les jardins et le parc depuis la tempête de 1999 il y a 20 ans, et verra la mise en place d’un parcours balisé des « Arbres admirables » du Domaine. Ces arbres les plus précieux du parc et témoins de son histoire sont admirables par leur âge, leur dimension, leur beauté ou leur rareté botanique. 28 sujets font l’objet d’une mise en valeur particulière dans ce carnet à la fabrication soignée.

Le jardin du parfumeur

14,8 × 21 cm

96 pages dont 32 illustrées avec légendes détaillées

28 arbres admirables des jardins de Versailles

Coédition Reliefs / Château de Versailles

14 €